Performance musicale et littéraire !
"Le mensonge, le dévoiement des mots, les abus de langage et
les célèbres fake news, s’inscrivent durablement dans notre quotidien
informatif.
Dès la fin des années 70, Bernard NOEL, désignait déjà ce
type d’inflation verbale comme une « Sensure » Notion créée
pour indiquer la privation de sens sans nous priver de la parole et de son
expression : (…) la forme la plus subtile du lavage de
cerveau, car elle s’opère à l’insu de sa victime…
Pour renouer avec le sens réel de la parole et des pensées humanistes, les Frappeurs de Mots s’emparent des écrits de différents auteurs pour les assembler en un seul et même texte. Appuyé par une puissante dramaturgie sonore, les mots sont alors l’analogie de la frappe rythmique telle que le pratique les Frappeurs de Mots."
Pour renouer avec le sens réel de la parole et des pensées humanistes, les Frappeurs de Mots s’emparent des écrits de différents auteurs pour les assembler en un seul et même texte. Appuyé par une puissante dramaturgie sonore, les mots sont alors l’analogie de la frappe rythmique telle que le pratique les Frappeurs de Mots."
"des frappes rythmiques
puissantes ont invité des auteurs
d’hier et d’aujourd’hui à assembler leurs mots, leurs pensées en un seul et
même texte réunis, René Char, Eduardo Galéano, Eugène Durif, Rudyard Kipling, Francis Ricard... "
TransMemoriA* est un collectif
d’artistes, ingénieurs et performers qui officie essentiellement dans la rue,
mais aussi en salle et parfois même en entreprise puisque notre première source
d’inspiration est la mémoire industrielle visuelle et sonore d’hier et
d’aujourd’hui.
Au fil des années le thème artistique a
évolué vers la mémoire vivante ; « celle
qui incite à continuer l’histoire plutôt que de la contempler ».
Ce qui veut dire que cette mémoire doit
servir à toute démocratie, digne du nom, à ne pas répéter les erreurs d’hier
tout en refusant de se laisser paralyser par la nostalgie du passé, et être
ainsi tournée vers l’avenir.
TransMemoriA s’inscrit dans la
poursuite de l’Art industriel des Tambours du Bronx, puis de la poésie industrielle de Metalovoice et
poursuit son utopie de frapper les mots
d’auteur dans la rue pour s’opposer aux maux
de la rue.
*Cie dirigée par Eric Goubet
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